Partenaire de l'innovation technique

Le plus grand frein à la croissance des entreprises aujourd'hui ? La pénurie de personnel (qualifié). ACE Development & Engineering offre à ses clients deux moyens de sortir de cette impasse. D'une part, elle met à disposition des capacités d'ingénierie dans sa branche support projet, à court ou à long terme. D'autre part, elle est active dans l'ingénierie mécanique sur mesure pour aider ses clients à automatiser leurs processus. Depuis peu, cette activité ne se fait plus à partir de deux (Lummen et Gand) mais à partir de trois succursales. Avec la reprise de NiniX Technologies à Bruges, ACE se positionne clairement sur la carte de la Flandre occidentale.

ACE est à l'origine un groupe d'ingénierie néerlandais. "Mais la branche belge fêtera tout de même son 35e anniversaire l'année prochaine", explique Francis Geeraert, directeur général pour la Belgique depuis le 1er juillet. Au cours de ces trois décennies, elle s'est forgé une solide réputation dans le domaine de l'ingénierie. Une carte de visite qu'elle souhaite présenter avec encore plus d'insistance à l'avenir. "L'automatisation est la seule voie d'avenir pour l'industrie en Europe occidentale. La production locale offre des possibilités indéniables, à condition qu'elle soit très efficace. C'est ce que l'on constate dans tout le mouvement de délocalisation en cours. Nous disposons des cerveaux nécessaires pour faire la différence pour nos clients. Dans le domaine du conseil comme dans celui de l'ingénierie mécanique".

Culture de l'amélioration continue

Avec l'acquisition de NiniX au début de cette année, ACE dispose désormais de trois bureaux en Belgique. "Notre ambition est de mieux couvrir le marché sur le plan géographique. Cette acquisition est un premier pas dans cette direction. De plus, grâce à l'expertise en microdosage et en 'harsh environment electronics' présente sur place, nous ajoutons de nouvelles spécialisations intéressantes afin d'offrir à nos clients des solutions encore meilleures. Nous resterons chacun sur le marché avec notre propre identité, mais nous partagerons nos connaissances et nos ressources.

Ce faisant, Geeraert croit fermement à la philosophie de Pippi Longstocking. "Je ne l'ai jamais fait auparavant, alors je pense que je peux le faire. C'est ainsi que nous recrutons nos employés et que nos ingénieurs sont dans le métier. Ceux qui conçoivent des machines à partir de zéro rencontreront toujours certains problèmes. En permettant aux gens de reconnaître leurs erreurs, de les "célébrer" même, et surtout d'aider à les corriger, vous créez une culture d'amélioration continue. C'est l'ADN de nos ingénieurs : nous continuons jusqu'à ce qu'une solution fonctionne bien, jusqu'à ce que le client soit satisfait, jusqu'à ce que toutes les parties puissent être fières.

Offrir des compétences plus larges

"Dans cette optique, nos collaborateurs souhaitent également jeter les bases des 35 prochaines années. En matière de conseil en ingénierie, nous voulons élargir notre champ d'action et étendre nos compétences mécaniques classiques à l'électromécanique, la technologie des processus, le contrôle de la qualité, la gestion de projet..."

Mais l'approche reste la même. "Nous consacrons désormais beaucoup de temps à apprendre à connaître les nouveaux candidats. Non seulement pour répertorier leurs compétences, leurs aptitudes, mais surtout leurs aptitudes non techniques, pour savoir ce qu'ils attendent d'un emploi, ce qui les pousse à se rendre au travail chaque jour avec le sourire. Mieux nous évaluons cette adéquation avec nos clients, plus la motivation sera évidente. Une motivation que nous complétons naturellement par une formation. Nos ingénieurs disposent de divers outils pour affiner leurs propres talents".